Si vous souhaitez revoir les temps forts de ce congrès, cliquez ci-contre pour voir les extraits vidéo de ces trois jours. N'hésitez-pas à commenter et à réagir aux différentes interventions.
lundi 2 juin 2008
jeudi 29 mai 2008
Les parents et l'orientation : réagissez à notre sondage
D'après le sondage effectué avec l'institut CSA et le journal La Croix dans le cadre de notre congrès, 97% des parents interrogés estiment que l'orientation et l'avenir professionnel de leurs enfants sont un sujet important. Et puisque cela les préoccupe, ils sont 58% à répondre qu'ils sont les mieux placés pour aider leurs enfants à s'orienter, devant les salons, les enseignants, la presse et internet. Mais, paradoxalement, 62% d'entre eux estiment qu'ils sont bien informés pour le faire ! Le sondage fait également apparaître que 74% des parents pensent avoir une influence sur le choix d'orientation de leurs enfants et un quart aimerait que leur enfant exerce le même métier qu'eux.
Et vous, qu'en pensez-vous ? Retrouvez l'intégralité des résultats sur http://www.la-croix.com/documents/doc.jsp?docId=2338856&rubId=1306.
lundi 19 mai 2008
Résultats moyens en 1re : faut-il redoubler ou pas ?
Sandrine Pouverreau, chef de service Education à Phosphore
jeudi 15 mai 2008
Les étudiants s'estiment mal informés pour s'orienter
Dans le cadre d'une enquête réalisée en février dernier par l'institut Opinion Way à la demande du ministère de l'Enseignement supérieur, 49% des étudiants s'estiment mal informés concernant leur orientation. Forums des métiers, sites internet, salons... Pourtant l'offre est assez large et ils reconnaissent eux-mêmes que "quand on y met du sien, on trouve les informations voulues." Finalement, on peut se demander si à force de vouloir informer à tout prix, on n'obtient pas l'effet inverse ? D'après cette enquête, ce sont surtout les établissements qui sont pointés du doigt, car pas assez impliqués d'après les étudiants, et la documentation qui ne développerait pas assez certaines formations. Les étudiants seraient-ils trop exigeants ? Car finalement, seuls 22% d'entre eux déclarent faire de l'orientation une priorité, la première étant l'emploi et l'insertion professionnelle.
mercredi 23 avril 2008
mardi 22 avril 2008
Est-il possible de devenir pilote de chasse sans le bac S ?
François Blaise, rédacteur en chef d'Okapi
mardi 1 avril 2008
Enfant en échec : rien n'est jamais perdu
Cette année, il vient de sortir d'une grande école avec deux masters en poche et le voici parmi les premiers embauchés de sa promo. Il s'éclate dans son travail, où il a été choisi justement en raison de son caractère dynamique, entreprenant, heureux de vivre, enthousiaste, indépendant, prêt à bosser sans s'épargner...
Chers parents, tenez-bon, envers et contre tout. Ne laissez pas vos enfants chavirer, plongez pour les repêcher, autant de fois qu'il le faut. Et surtout, soyez patients... Aimez-les tels qu'ils sont. Car il n'y a qu'une chose vitale à construire pour la vie : la confiance en soi. Elle peut se construire tôt, parfois plus tard et surtout, il faut veiller à l'entretenir pour éviter de la perdre... Alors parents et profs, tous ensemble, au boulot !
Christine, maman de Jean-Baptiste
mardi 25 mars 2008
Le bac S sera-t-il toujours la voie royale ?
Véronique Dintroz-Gass, présidente de l'Unapel
mardi 26 février 2008
Il n’y a pas une seule façon de réussir
Mais nous avons tous rencontré des artisans ou des agriculteurs heureux et passionnés, des entrepreneurs sans diplôme étonnamment compétents, cultivés et passionnants, au dynamisme communicatif. Des gens modestes qui réussissent magnifiquement une vie familiale qui fait le bonheur de leurs enfants ; des gens obscurs qui s’investissent avec bonheur dans des associations culturelles, caritatives ou sportives et qui font des miracles.
Une orientation réussie, c’est la découverte de soi, pour que puissent être exprimées et cultivées et portées jusqu’au plus haut degrés, ses aptitudes et ses passions. Sans nier pour autant l’environnement social dans lequel elles doivent s’inscrire. Réussir, c’est peut-être aller jusqu’au bout de soi-même…
lundi 18 février 2008
Laissons à nos enfants le droit d’échouer !
Dans certains cas, il est évident qu’un manque de travail est à l’origine du problème, mais après en avoir tiré toutes les conclusions utiles, il faut se mettre en marche pour faire ressortir le positif de la situation. Pour l’enfant qui, quoiqu’il fasse n’a pas de réussite dans sa scolarité, est-il pour autant inapte à toute réussite ? A t-il droit au bonheur et à sa place dans notre société ? Combien d’enfants ont réussi leur vie en utilisant d’autres chemins ? Et si nous pensions « échouer » comme une formidable occasion de repartir…
lundi 11 février 2008
Et si on parlait métiers avant de parler filières ?
Inversons ce sens de l’orientation, redonnons lui du « sens », en partant des domaines professionnels, de leurs caractéristiques et de leur intérêt. Découvrons ensuite - et seulement ensuite - les différents cursus et les multiples passerelles qui permettent d’y accéder.
Le point de vue est radicalement différent. Il permettra sans doute à Cédric, « orienté » en fin de 3e, de comprendre la finalité de la filière professionnelle qui s’ouvre devant lui et de retrouver le désir de progresser. Sabine, la bonne élève, engagée presque malgré elle dans la course à l’excellence, prendra enfin le temps de s’interroger sur ses objectifs, non plus en terme d’études, mais en terme de vie professionnelle.
mercredi 30 janvier 2008
Faut-il orienter en fonction des débouchés ?
Chaque enfant a besoin, pour s’épanouir, de se reconnaître dans un projet qui lui est propre, de cultiver des goûts, des aptitudes, des rêves aussi… Les choix qu’il fera avec ses parents lui permettront de tracer son propre chemin, choisi et non subi. Il y construira son identité, ses objectifs, son ambition qui ne peut se limiter à un job à la sortie…
Faut-il pour autant faire abstraction des débouchés et des réalités économiques ? Trop de filières techniques inadaptées à la réalité économique ou à contre-courant des besoins du marché de l’emploi ont laissé sur le carreau des hordes de jeunes chômeurs. Et combien de jeunes étudiants, attirés et éblouis par les matières intellectuellement passionnantes (la socio, la psycho, les belles lettres…) s’aperçoivent un peu tard qu’elles ne mènent qu’à une impasse professionnelle ?
Laissons la place au rêve, à l’ambition, aux choix qui font grandir, mais confrontons les aux débouchés, aux réalités de la vie économique pour une orientation choisie, mais efficace.
lundi 21 janvier 2008
Peut-on parler orientation dès la 6e ?
Depuis longtemps déjà Léo s’intéresse à son avenir. Aujourd’hui il est en 6e. Et il serait trop tôt, pour parler d’orientation ? Il faudrait attendre la 3e pour faire découvrir aux élèves les métiers et les filières qui y mènent ? Il ne s’agit évidemment pas de les enfermer dans une voie, ni de considérer qu’à cet âge, les aspirations sont fermes et définitives. En revanche, leur expliquer, ainsi qu’à leurs parents, les étapes à venir, leur parler des outils qui seront à leur disposition, les emmener visiter le BDI de leur établissement, voilà différentes façons de les accompagner utilement, sur les chemins de l’orientation.
Pas d’angoisses Léo, tu as quatre ans devant toi – et encore, il ne s’agira alors que de la première étape – pour mettre en adéquation tes talents, tes rêves, la réalité des filières et des métiers, en comptant sur l’aide de tes parents – aide d’autant plus efficace qu’ils auront été eux-mêmes bien informés – et de toute la communauté éducative.
mardi 15 janvier 2008
Arrêtons de planifier l'avenir de nos enfants et laissons les rêver !
mardi 8 janvier 2008
Stages de découverte professionnelle : pourquoi pas au lycée ?
Aux parents, ensuite, quelle que soit leur profession ou la position hiérarchique qu’ils occupent, de se mobiliser pour que leur entreprise accueille des jeunes stagiaires, et de se montrer disponibles pour faciliter leur intégration.
L’orientation, c'est aussi une affaire de parents !
Certains, désabusés, diront ne rien comprendre aux arcanes des filières et des passerelles ; d’autres, amers, que seuls les initiés du système scolaire sont à même d’accompagner leurs enfants. Un grand nombre affirmeront que la question de l’orientation est de la compétence pédagogique des enseignants. Faut-il pour autant les laisser décider, seuls, de ce que sera le meilleur avenir pour nos enfants ? Cette responsabilité, il nous faut l’assumer avec le corps enseignant, sans nous défausser les uns sur les autres au gré des déceptions.
En tant qu’éducateurs, nous devons agir ensemble, au quotidien, pour permettre à nos enfants d’être véritablement acteurs de leur orientation.
Véronique Dintroz-Gass, présidente de l'Unapel